Projet de thèse en Psychologie, sous la direction de Astrid Hirschelmann (PR, LPCN, Université de Caen Normandie) et le co-encadrement d’Alexandre Ledrait (MC HDR, LPCN, Université de Caen Normandie).
Thèse en préparation à l’Université de Caen Normandie, dans le cadre de l’École Doctorale Homme, Sociétés, Risques, Territoire (ED HRST 556, Rouen), en partenariat avec le Laboratoire de Psychologie de Caen Normandie (équipe de recherche) depuis le 10-12-2024.
Résumé
Cette thèse en psychologie clinique explore les effets psychiques de la participation à une mesure de justice restaurative chez les personnes auteures et victimes d’infractions. À travers un dispositif longitudinal, elle analyse comment la rencontre restaurative soutient des processus de subjectivation et de reconstruction identitaire à travers la mise en sens du récit narratif. L’étude interroge la manière dont la pluripartialité et la légitimation de la parole favorisent l’émergence de mouvements intrapsychiques de symbolisation, de reliaison et d’apaisement.
Mots-clés
justice restaurative, psychologie clinique, auteurs, victimes, subjectivité, symbolisation, reliaison
